29 Mai 2010
Hier à peine, je quittais ma terre natale du Viêtnam,
Pour m'envoler vers ce beau pays qu'est la France.
Et, depuis deux décennies en ce pays-là,
Je n'ai jamais cessé de l'aimer de tout mon être.
Aujourd'hui, je vis paisiblement dans ma demeure de France,
Pour qu'à jamais, le Ciel puisse me préserver de la barbarie extérieure.
Celle-là même qui a usé la nature de mon âme,
Si chétive fut-elle.
Demain, je franchirais l'enceinte interdite au commun des mortels,
Alors, le domaine des Immortels s'ouvrira à moi.
Je louerais les bienfaits de la littérature.
A jamais, je vivrais au plus profond de vos coeurs ouverts.