Ôde à ma muse favorite

Ce poème que j'ai écrit en août 2010, est destiné à la gloire de ma muse favorite. Je l'ai prénommé Sissy, en hommage à la princesse autrichienne du même nom:

Prunelle de mes yeux éblouis,

Que rayonne en tout lieux,

Ta beauté, dont je me suis épris,

Puisses-tu rester le meilleur de mes souvenirs.

Dès à présent, et pour l’Éternité.

Belle demoiselle, ta grâce me fait honneur,

Mon plus puissant désir, serait d’être à tes côtés,

Cela, afin d’en bénéficier pleinement.

Moults récits de poètes t’ont sublimée,

Depuis l’aube des temps anciens, jour après jour,

Leur talent t’a depuis longtemps magnifié.

Nombreux furent les Sages qui traitèrent de ton charme infini.

Ton visage est à jamais gravé dans mon âme,

Il hante mes rêves,

Ainsi que mes pensées les plus intimes,

Il en possède la force,

Et ce visage, c’est le tien.

Bien que ce poème ait été rédigé en son honneur, je n'ai – hélas, pas réussi à éprouver un quelconque sentiment amoureux envers elle. D'ailleurs, dans le poème cité ci-dessus, il n'est pas fait mention de traces avérées d'amour.

Voici le premier article traitant d'elle:

Elle, petite princesse de mes rêves